Coucou mon tit bébé tu m'as vraiment beaucoup apporté dans ma vie, on c'est vraiment amusé.

Je te souhaite de tout mon coeur d'avoir un bel avenir à l'école et dans tout se que tu entreprendra.

Amuse toi bien avec Maxime et Stella.

Je t'ai aimé et  apprécié chaque jours qu'on a passé ensemble. Change pas reste le tit bébé qui aime bien rire.

D'avoir fait partie de ma vie, je te fais un gros câlin.

Mamy  

 Louis-Gabryel tu es petit alors je vais te mettre des images que tu aime, et te raconté les deux histoires qu'on se racontaient souvent tous les deux.

                                        

 

                                                

                                       

 

                           

                                   

Voilà ta petite collation

                           

          

                

Des photos de toi petit

              

 

Pourquoi j'ai plus rien à mangé 

 

                       

Vite dans le bain

                 

Que c'est bon du chocolat et du lait que je bois dans mon plat comme papy m'a montré  

   

À l'aide je voie plus rien je triple des bulles

                       

Wow!!! faut j'y touche c'est trop beau, c'était pas une bonne idée ça ma fait bobo

 

Moi et Papy 

 

     

Maxime, Stella et Moi

Maintenant un bon petit bain et un gros dodo pour bien te reposer.

                                  

 

Il était une fois trois petits cochons qui vivaient avec leur maman dans une petite chaumière. Un jour, La maman appela ses trois fils et leur dit qu’elle ne pouvait plus les élever parce qu’elle était trop pauvre.

– « Je voudrais que vous partiez d’ici et construisiez votre maison, dit-elle, mais prenez garde qu’elle soit bien solide pour que le grand méchant loup ne puisse entrer et vous manger. »

La maman embrassa ses trois petits cochons et leur dit au revoir les larmes aux yeux. Ils s’en allèrent de chez eux construire leurs maisons.

Le premier petit cochon rencontra un homme portant une botte de paille.

– « Puis-je avoir un peu de paille pour construire ma maison ? » demanda le petit cochon.

Et l’homme lui donna de la paille.

Le second petit cochon avait rencontré un homme qui portait un chargement de bois.

– « Puis-je avoir quelques bouts de bois pour construire ma maison ? » demanda le petit cochon.

Et l’homme lui donna le bois.


Le troisième petit cochon, lui avait rencontré un homme chargé de briques.

-« S’il vous plaît, Monsieur, demanda le troisième petit cochon, puis-je avoir quelques briques pour construire ma maison ? »

L’homme lui donna assez de briques pour bâtir une grande et solide maison.



Les trois petits cochons rentraient joyeusement chez eux quand le grand méchant loup les aperçut.

– « Comme ils doivent être tendres ! Lequel vais-je manger en premier ? Je vais commencer par le petit cochon dans la maison de paille ! »

Il frappa à la porte.

– « Petit cochon, gentil petit cochon, laisses-moi entrer ! »

– « Non, Non ! Par le poil de mon petit menton ! »

– « Alors, je vais souffler et ta maison s’envolera ! »

Le loup gonfla ses joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de paille s’envola.



– « Au secours ! » cria le premier petit cochon en courant vers la maison de bois de son frère.

A peine celui-ci eut-il refermé la porte que le loup frappa.

– « Petits cochons, gentils petits cochons, laissez-moi entrer ! »

– « Non, non! Par le poil de nos petits mentons ! » répondirent les deux frères.

– « Alors je vais souffler, souffler, et votre maison s’envolera ! »



Le loup se gonfla les joues, souffla, souffla de toutes ses forces, et la maison de bois s’envola.

– « Au secours ! » crièrent les deux petits cochons en courant aussi vite que possible vers la maison de briques de leur frère.

– « Ici, vous ne risquez rien ! » leur dit-il.

Bientôt, la voix du loup résonna.

– « Petits cochons, gentils petits cochons, je peux entrer ? »

– « Non, non ! Par le poil de nos petits mentons ! »

– « Alors, vous allez voir, hurla le loup, je vais souffler sur votre maison, et je vais la démolir ! »



Il prit alors sa plus profonde respiration et souffla comme un fou. Mais cette fois-ci, il ne réussit pas à mettre la maison par terre.



Cela rendit le loup fou furieux. Il décida de passer par la cheminée de la petite maison.

Pendant ce temps, le troisième petit cochon qui était très rusé, alluma un grand feu dans la cheminée et y posa un chaudron rempli d’eau.

Quand le loup descendit dans la cheminée, il tomba tout droit dedans.



Il poussa un hurlement qu’on entendit à des kilomètres à la ronde et repartit comme il était venu, par la cheminée.



On n’entendit plus jamais parler de lui.

Le Petit Chaperon Rouge


 

Il était une fois.... 

une petite fille qu'on appelait Chaperon Rouge,
on lui avait donné ce nom parce sa maman lui avait fait un très joli bonnet rouge. Et, à l'époque, les bonnets s'appelaient des chaperons. 
Au village, quand on la voyait arriver, on disait: Tiens voilà le Petit Chaperon Rouge. 

Le petit Chaperon Rouge avait une grand-maman qui vivait seule à l'autre bout de la forêt. La vielle dame très âgée, ne sortait pas beaucoup de sa maison. 

Un jour sa maman lui dit:
Grand-maman est malade, j'ai fait ce matin des galettes que ta grand-maman aime tant, sois gentille, va donc les lui porter avec ce fromage 
et ce petit pot de confiture
Mais ne quitte pas le sentier, car papa a vu des loups qui rôdaient dans la forêt.

Le Petit Chaperon Rouge promit de se méfier puis, toute joyeuse,
elle mit sa cape rouge, son bonnet rouge et elle prit son petit panier. 
Ne traîne pas en chemin recommanda la maman.
Ne parle à personne et reviens avant la tombée de la nuit. 
Le Petit Chaperon Rouge lui donna un gros baiser et partit en sautillant. 

Or, tout près de là, un loup affamé rôdait dans le bois. 
Soudain il vit l'enfant. Miam! miam! l'eau lui monta à la bouche 
et il se lécha les babines en pensant au succulent dîner qu'il allait faire.
Mais pas ici, pensa-t-il. On pourrait me voir de la maison.

Il s'approcha de la petite fille. Bonjour! lui dit-il.
Le Petit Chaperon Rouge se mit à trembler en apercevant le loup,
mais celui-ci reprit en souriant jusqu'aux oreilles. 

Comment t'appelles-tu?
Le Petit Chaperon Rouge, répondit peureusement Chaperon Rouge..

Et où vas-tu comme cela? demanda le loup d'une voix douce.
Une voix si douce que la petite fille se sentit aussitôt rassurés. 
Je vais chez ma grand-mère, expliqua le Petit Chaperon Rouge.
Elle habite tout au bout du sentier.
Le loup connaissait très bien la petite maison.
Excuse-moi, dit-il, je suis pressé. J'ai été ravi de faire ta connaissance. A bientôt!

A ces mots, il s'enfuit à toutes jambes dans la forêt et, ayant pris un raccourci, 
il arriva bon premier devant la maison de la grand-mère. 

Toc, Toc, il frappa. 
Qui est là? demanda la vieille dame, du fond de son lit. 

Le Petit Chaperon Rouge! 
le loup, qui était très doué pour les imitations. 

Tire la chevillette et la bobinette ! 
s'écria la grand-mère, toute joyeuse de voir sa petite fille.

Le loup tira la chevillette et la porte s'ouvrit. 
La grand-mère sursauta d'effroi. 

Laisse-moi en vie, supplia-t-elle.
Je te donnerai toutes mes provisions. 

Mais le loup avait un projet plus urgent. 
Il se précipita sur la grand-mère, lui arracha sa chemise de nuit, son bonnet de dentelle,
et il enferma la vieille dame dans une armoire. 
Sans perdre une seconde, il enfila la chemise et le bonnet, 
puis se coucha dans le lit, tira la couverture de laine jusqu'à son nez, et il attendit. 

      

Pendant ce temps, le Petit Chaperon Rouge, 
arriva avec son panier de provision et un beau bouquet de fleurs 
qu'elle avait prit le temps de cueillir. 

Elle frappa à la porte. Toc, Toc!

Qui est là? 
demanda le loup, imitant la voix de la grand-mère.

Le Petit Chaperon Rouge.

Tire la chevillette et la bobinette! s'écria le loup.
La petite fille se haussa sur la pointe des pieds,
tira la chevillette et elle entra. 

Toute souriante, elle se dirigea vers le lit de la vielle grand-mère.
Mais, en s'approchant, elle se dit, que, sous son bonnet, 
sa grand-mère avait vraiment une drôle de tête ce jour-là.


Oh, grand-mère! Tu en as de grands yeux! 

C'est pour mieux te voir, mon enfant! dit le loup en gloussant. 

Tu en as de grandes oreilles!

C'est pour mieux t'entendre, mon enfant.

Et tes dents! s'écria le Petit Chaperon Rouge. 
Tu en as de grandes dents!

C'est pour mieux te manger, mon enfant ! hurla le loup.


Il rejeta la couverture, et griffes en avant, il se précipita vers la petite fille.
Criant de toutes ses forces, elle s'échappa vers la porte, mais elle tremblait tellement
qu'elle n'arrivait pas à l'ouvrir. 

Or, le papa du Petit Chaperon Rouge 
coupait du bois tout près de là.
Entendant des cris, il courut à toute allure vers la maisonnette,
en arrivant, il aperçut le loup et le Petit Chaperon Rouge à travers la fenêtre,

Il se précipita et, d'un coup de hache, tua le loup. Il était temps! 


Avec ses griffes, l'animal avait déjà accroché la robe du Petit Chaperon Rouge. 

Le bûcheron serrait son enfant contre son coeur,
lorsqu'ils entendirent des coups frappés dans l'armoire.

C'était la grand-mère, bien sûr !

La grand-maman était très heureuse de les voir et les embrassa tous les deux.

Le bûcheron apporta le loup très loin de la maison.

La grand-maman fit promettre au Petit Chaperon Rouge
de ne plus jamais parler à aucun loup, même s'il avait l'air très gentil. 

Heureusement, les galettes,
le fromage et le pot de confiture étaient encore dans le panier. 
Le Petit Chaperon et sa grand-maman s'en régalèrent tout en se promettant 
de se voir plus souvent.

Mais sans le loup cette fois dit grand-maman!

                     

 

 

                

    

Midi : Heidi