Si le cheval est moins intelligent que le dauphin, il compense ses limites par des facultés d'adaptation et d'imitation, son excellente mémoire, son sens de l'association et sa bonne volonté.
Il ne faut pas confondre intelligence et instinct. Le cheval a par exemple un très bon sens de l'orientation.

 En cas de peur par exemple, il perd toute faculté de réflexion sous le coup de l'émotion et n'écoute plus que son instinct. Il fuit au grand galop ! Car c'est un animal très émotif qui au moindre stress perd tous ses moyens.

 

 


Avant de commencer toute séance de travail, il faut instaurer un climat de confiance et de calme pour éviter le stress.
Plus vous apprendrez des "petits trucs" à votre cheval, plus il apprendra vite et aura envie d'apprendre.
Vous pouvez le désensibiliser à plusieurs objet pour lui apprendre à ne plus en avoir peur. En observant votre cheval, vous découvrirez ce qui provoque sa curiosité. S'il paraît intéressé par un gant, vous pouvez lui apprendre à le rattraper au vol.
 Un travail varié stimule l'intelligence du cheval, alors qu'un travail trop répétitif lui ôte l'envie d'apprendre.
Il faut toujours laisser le cheval sur une bonne impression. S'il ne parvient pas à exécuter un exercice passez à quelque chose qu'il sait faire. Une fois le travail fini, il repensera à ses difficultés et trouvera peut-être la solution.
Pour l'aider à apprendre, vous pouvez être accompagné d'un cheval expérimenté qui connaît bien l'exercice et qu'il imitera.
Décomposez la difficulté en plusieurs étapes, ce qui rendra son travail beaucoup plus facile !
Et surtout, laissez votre cheval travailler à son rythme, ne le pressez pas !

 

          

 

  

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